Depuis le 16 novembre, la France est en situation de risque élevée. À défaut de pouvoir gérer l'incendie à temps cet hiver, le Ministère de l'agriculture s'est résolu à utiliser les mêmes recettes qu'en 2015 et 2016, c'est-à-dire abattre massivement (près de 3,5 millions d'animaux), indemniser les producteur·rice·s, avant de laisser remettre en place les volailles et palmipèdes. Malheureusement, pour les producteur·rice·s d'animaux élevés en plein air, la situation est plus compliquée qu'il ...
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